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  • Les amis de la droguerie.
  • Groupe de lecteurs issus de l’"association des amis de la Droguerie de Marine" nous avons souhaité vous faire partager nos coups de cœur ou nos coups de gueule et connaitre vos avis.Ce blog est donc un blog  Multi-Voix.
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Pourquoi Delavareuse ?

Parce que Lavareuse est unique ;

Et le prix du livre aussi.

Qui est Monsieur De Lavareuse

Brève note biographique (non « autorisée ») sur Monsieur de la Vareuse.


Jean-François de Nantes, compte débiteur de la Vareuse, est un célèbre navigateur et un découvreur hors paire du XVIIème siècle. Officier de narine, il dirigeait une expédition tourdumondesque qui n’aboutit hélas point. Il disparut lors du naufrage de son navire dans l’archipel Atarte, du groupe des Molusques.

On prétend que Louis XVI, montant sur l’échafaud, s’enquit de son sort en ces termes : « Avons-nous des nouvelles de Monsieur de la Vareuse ? ».

Fin lettré, auteur de nombreux ouvrages savant arrière, Monsieur de la Vareuse se complaisait aussi dans des navigations imaginaires, en grand spécialiste qu’il était du modélisme narval.

On connait de lui une représentation en pied, attribuée à Poussin Pascal le Jeune, où il apparait vêtu d’un pourpoint Armor Lucre, une cote de Guy Ciren, et des bottines Dogue Saille

Si ce tableau n’a pas de prix, le livre, pour sa part, a toujours un prix unique.

Faites comme l’affectionnait Monsieur de la Vareuse, rendez-vous souvent chez votre libraire, indépendant bien entendu.

Archives

Lavareuse dans la presse

Pourquoi ce blog de Lavareuse ?

(une interview exclusive de Dominique par Jean Floc’h, de La Gazette d’Internénette)

 

-          Q : Mais pourquoi donc le blog de Lavareuse ?

 

-          R : Que croyez vous donc ? N’était-il pas temps que la vareuse soit enfin sur la toile ?

 

-          Q : Certes, mais pourquoi ce nom de Lavareuse ?

 

-          R : Ah, Monsieur pense peut-être qu’il eût été plus seyant de le nommer de la Vaseuse ? Ou bien de la Raseuse, ou de l’Araseuse, de la Malheureuse ou encore de la variqueuse ou de l’avaricieuse ? N’eût-il pas été ainsi habillé pour l’hiver ?

 

-          Q : Certes, mais néanmoins, l’appellation ne reste-t-elle pas un peu ésotérique ?

 

-          R : Que nenni ! C’est clair comme de l’eau de roche. Les noms de la Valseuse et de la Valeureuse étant déjà pris, de la Vareuse s’imposait à nous.

 

-          Q : Merci à vous, Madame, et bon vent.

 

   R : merci de vous intéresser au blog, Jean Floc’h !

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24 juin 2011 5 24 /06 /juin /2011 13:06

Ed: A.Carrière & livre de poche        trad:B.Kreiss      par Anne Laure

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Travaillant, dans le cadre d'une thèse, sur les illustrations dans les dictionnaires,  j'avais été intriguée tout l'été dernier par la couverture de ce roman reproduisant une illustration botanique digne de celles que l'on trouve dans le encyclopédies du 19e siècle. À la lecture de la quatrième de couverture, j'avais peur d'un roman mièvre. Je me suis finalement laissée tenter en voyant le livre à la bibliothèque.
A la mort de sa grand-mère, Iris apprend qu'elle hérite de la maison de famille en lieu et place de sa mère et de ses tantes. Bien décidée à refuser cet héritage, elle se donne quelques jours pour revoir les lieux, et prendre une décision. Les quelques jours passés dans cette maison familiale lui permettent de renouer avec ses souvenirs d'enfance, de rechercher quelques réponses à son histoire familiale. À travers l'histoire de 3 générations de femmes qui expose différentes relations mère-fille, ce roman propose une réflexion sur la mémoire et l'oubli :
        "Si l’on n’oubliait rien, on ne pourrait pas non plus se souvenir de quoi que ce soit. Les souvenirs sont des îles qui flottent dans l’océan de l’oubli. Il y a dans cet océan des courants, des remous, des profondeurs insondables. Il en émerge parfois des bancs de sable qui s’agrègent autour des îles, parfois quelque chose disparaît. Le cerveau a ses marées."
Finalement, une lecture de détente agréable.

 

                                                                                                                                                par Patricia

 

Iris , bibliothécaire à Fribourg vient d'hériter de la maison de sa grand mère, Bertha atteinte de la maladie d’Alzeimer. Elle quitte son travail quelques jours , le temps de ranger la maison et de la mettre en vente.

  Mais plus les jours passent et plus les souvenirs reviennent , elle ouvre les armoires , essaie les robes de sa mère , de ses tantes, va se baigner dans le lac et parcourt la campagne sur le vélo de son grand père.

  Son enfance , son adolescence et surtout la mort tragique de sa cousine à 16 ans sont là comme l'odeur des pommes si présente , si tenace …et Max , le petit frère de l'amie d'enfance.

  Iris restera dans cette maison , dont elle se sent dépositaire

Trois générations de Femmes , leurs vies , leurs secrets, leurs espoirs et leurs deuils, dans ce roman sur l'oubli , le temps qui passe.

  Un roman lent qui est un vrai bonheur, et qui me fait penser à un roman d'une autre allemande , la « Relieuse du Gué ».

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commentaires

M
<br /> J'ai très envie de le lire celui-ci !<br /> <br /> <br />
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